Les Echos, le 5 septembre 2009


"Les testaments permettraient de procéder au démantèlement ou à la restructuration rapide des gros établissements défaillants, et in fine de mieux protéger les contribuables, qui ont payé l'addition de la crise."


Réactions à cet article :


Intéressant de vouloir détricoter tout ce que tous les groupes -et pas seulement financiers- s'ingénient à mettre sur pied tant pour des raisons de rationalité économique et juridique que pour des raisons fiscales voire sociales !

A la veille d'août 2007 qui pressentait que les plus grandes banques pourraient se trouver totalement paralysées, ne pouvant plus se refinancer en moins d'une semaine et que certaines des plus prestigieuses seraient rayées de la carte ?
Dans l'urgence et la panique rien ne vaut plus ! Sauf à nationaliser provisoirement ou à donner en location-gérance sous le patronage des autorités, le temps de voir, comme dans les autres secteurs d'activité.

Les raiders d'ABN AMRO n'ont pas eu besoin de testament pour casser en 3 cette banque ... avec l'échec retentissant que l'on sait! Or ils savaient où ils mettaient les pieds ! Cela pourrait néanmoins aider les fonds spéculatifs à pousser à l'éclatement des groupes puisque ceux-ci sont censés s'y être préparé !