Le Figaro.fr - 21/04/2010

L'affaire Goldman Sachs n'aurait pas de retombées en France à première vue, a indiqué la ministre de l'Economie Christine Lagarde. Mais l'Autorité des marchés financiers, le gendarme de la Bourse, se penche sur le dossier.


Dans un commentaire  un lecteur a écrit :"Du côté des établissements français, on en est encore à se demander si on va sortir les cadavres du placard au risque de "passer pour des billes" ou si on va les laisser planqués avec l'espoir de passer pour les meilleurs banquiers du monde. Officiellement, chez nous donc, pas de victimes !"

  réaction à ce commentaire :

bien vu !

Et puis que dire si même les professionnels se font avoir sur des produits aussi clairement toxiques !

Comment réclamer en permanence que les épargnants de base soient formés aux choses financières pour éviter les pièges et/ou investir davantage dans des titres si les professionnels se font ainsi avoir ?

Leur protection, toute relative d'ailleurs, ne suffit pas pour protéger l'épargne. Les professionnels n'ont pas à être protégés dit-on. Soit, mais alors il faudrait les responsabiliser pécuniairement car agissant comme investisseurs institutionnels mandatés pour gérer l'épargne des ménages ils ne sont intéressés aujourd'hui qu'aux plus-values et jamais aux moins-values.