Mon commentaire :

Et dans ce paysage, les banques centrales - et pas seulement la BCE ! - qui ne font rien pour orienter les financements bancaires et de marché vers des investissements permettant un développement durable, essayant de restaurer l'air, l'eau, les terres, la biodiversité.
La période des taux très élevés de ces 18 derniers mois était pourtant l'occasion - bien que tardive, cela aurait dû commencer au début de la décennie 2010 - de pratiquer une sélectivité des taux de refinancement, et une politique de collatéraux différenciant les quotités admises en garantie.